L’essentiel à connaitre sur le DMA assurance

Avant de signer pour une assurance décès et mutilation accidentelle ou DMA, il est de mise d’en connaitre davantage sur le sujet. Certes les avis dma assurance sont utiles. Mais pour éviter d’être à l’origine d’une polémique et de perdre du temps à porter plainte alors qu’on n’aura pas gain de cause, il faut comprendre le fonctionnement de ce genre d’assurance. Les malentendus sur le sujet sont sur le point de détruire la réputation de certaines entreprises. Il faut donc remettre les bases d’un tel contrat, et ce, pour tous les particuliers.

Une entraide mutuelle, obligatoire et à distance

La DMA assurance est une sorte d’entraide entre plusieurs particuliers qui ne se connaissent ni d’Adan ni d’Ève. Le seul point commun entre les clients est la qualité de leur couverture. Chacun est assuré pour un décès ou mutilation accidentelle.

Lire également : Quel est le prix d'un voyage à Bali ?

Tous savent que signer un contrat d’assurance oblige les particuliers à verser une certaine somme par mois auprès de l’établissement. Même si l’on n’a pas été victime d’un accident, le recouvrement continu. Aucun traitement de faveur ne sera accordé. En cas de cessation de payement, la couverture sera interrompue et aucune prise en charge ne sera possible.

On est donc en droit de se demander comment est utilisée la somme que l’on verse mensuellement ou trimestriellement. La réponse est simple : elle est accordée à un autre client qui lui a été victime d’un accident. Dans le même esprit, les participations de cette personne peuvent aussi être utilisées dans le payement de ses soins médicaux quand on est, à notre tour, victime.
Entre arnaque et avantage, la DMA assurance est un mal nécessaire pour se préparer au pire.

Lire également : Que faire pour un week-end à Bourges ?

Les conditions de prise en charge d’une DMA assurance

Le contrat d’une DMA assurance est très explicite sur les conditions de prise en charge. Il est d’ailleurs recommandé de les étudier avec soin avant de signer au risque de profiter d’un contrat vicié.
Dans tous les cas, un assureur peut se réserver le droit de ne pas assurer le recouvrement dans certaines situations. On peut citer par exemple le fait que l’enquête d’assurance a pu prouver qu’aucun accident n’a été perpétré. Les blessures sont les conséquences d’un acte réfléchi et conscient du client.

L’entreprise peut aussi ne couvrir qu’une partie des dépenses. Le calcul des prises en charge dépend de la gravité des blessures. Mais, si toutes les conditions sont réunies, le contrat peut aider dans le payement d’une large palette d’imprévus : perte d’un membre, arrêt temporaire de travail, hospitalisation, opération chirurgicale importante, etc.

En cas de décès, l’assurance ne livre la totalité des fonds que lors de la perte d’un père de famille : base de la stabilité financière du ménage. Le cas échéant, elle ne prend en charge que les frais d’inhumation.

Articles similaires